Auteur/autrice : compagnie les endimanchés

La compagnie les endimanchés et le Théâtre des 2 Scènes vous convient aux représentations de :

au Théâtre des 2 Scènes (Scène nationale de Besançon) – à l’Espace
3 Place de l’Europe, 25000 Besançon

Mardi 5 février à 20h
Mercredi 6 février à 19h
Jeudi 7 février à 20h

Volia Panic propose un voyage dans l’utopie, l’histoire et les méandres du Cosmisme Russe, mouvement philosophique né au milieu du XIXème siècle à l’origine de la conquête spatiale.

Les endimanchés s’attachent ainsi à explorer les racines de cette histoire parallèle de la Russie. Ils s’appuient sur l’observation des communautés rurales et la théorie de l’œuvre commune élaborée par Nicolaï Fiedorov.  La conscience du cosmos face à l’immensité des steppes, les désirs multiples de s’arracher à l’habitat terrestre et au chaos du vingtième siècle naissant, conduiront – par un détournement de l’Histoire – à la montée en puissance des technologies industrielles et militaires. L’œuvre commune, lié à notre désir de « quitter la gravité » n’aurait-elle pour aboutissement que la menace permanente d’une destruction planétaire ?

La compagnie les endimanchés et le Théâtre Dijon Bourgogne vous convient à la création de :

Au Théâtre Dijon Bourgogne, salle du Parvis Sain-Jean

Les mardi 22, mercredi 23 et jeudi 24 janvier à 20h
Le vendredi 25 janvier à 18h30
Le samedi 26 janvier à 17h

Volia Panic propose un voyage dans l’utopie, l’histoire et les méandres du Cosmisme Russe, mouvement philosophique né au milieu du XIXème siècle à l’origine de la conquête spatiale.

Les endimanchés s’attachent ainsi à explorer les racines de cette histoire parallèle de la Russie. Ils s’appuient sur l’observation des communautés rurales et la théorie de l’œuvre commune élaborée par Nicolaï Fiedorov.  La conscience du cosmos face à l’immensité des steppes, les désirs multiples de s’arracher à l’habitat terrestre et au chaos du vingtième siècle naissant, conduiront – par un détournement de l’Histoire – à la montée en puissance des technologies industrielles et militaires. L’œuvre commune, lié à notre désir de « quitter la gravité » n’aurait-elle pour aboutissement que la menace permanente d’une destruction planétaire ?